Dr. Martens, Doc Martens, Docs ou DMs, appelez-la comme vous le souhaitez, mais saviez-vous que la marque est un pilier de la culture britannique ? Qu’elle incarne depuis plus de 60 ans l’authentique esprit rebelle ?
L’histoire commence en 1945, quand un médecin allemand nommé Klaus Märtens se blesse à la cheville en skiant dans les Alpes bavaroises. Frustré par l’inconfort des bottes militaires traditionnelles, il conçoit une semelle à coussin d’air pour amortir les chocs. Avec l’aide d’un ami ingénieur, Herbert Funck, il fabrique les premières paires à partir de matériaux de récupération. Le confort et la résistance séduisent rapidement une clientèle locale, notamment les femmes plus âgées.
En 1959, la société britannique R. Griggs Group Ltd. obtient la licence pour produire ces chaussures au Royaume-Uni. Ils anglicisent le nom en Dr. Martens, redessinent l’empeigne, ajoutent une couture jaune distinctive, et nomment la semelle “AirWair”, avec le slogan : “With Bouncing Soles”.
La première paire, la 1460 (nommée d’après sa date de fabrication : 1er avril 1960), est née.

À ses débuts, la Dr. Martens est pensée comme une chaussure de sécurité : bon marché, résistante, confortable. Elle est adoptée par les facteurs, les ouvriers, les policiers ou encore les postiers du Royal Mail.
Dans les années 70, la Doc s'échappe des usines et est aperçue dans la rue. Elle intègre l’uniforme de la jeunesse britannique en colère. Les skinheads la récupèrent en signe de fierté ouvrière. Puis viennent les punks, les gothiques, les new wave... Chaque sous-culture s’approprie la Doc à sa manière. Elle devient un code visuel, un cri d’indépendance, un refus de la norme.

Si la Doc Martens est si puissante, c’est qu’elle est devenue au fil des décennies une extension de l’identité britannique. Portée par Sid Vicious, Pete Townshend, The Clash, Joe Strummer, ou plus tard Amy Winehouse et Stormzy, elle traverse les genres musicaux comme un fil rouge.
La marque est souvent associée à Camden, quartier londonien emblématique des cultures alternatives. Dans les années 90, elle devient également populaire dans les mouvements grunge et indie. Kurt Cobain en porte sur scène, tout comme les fans de Nirvana ou de Radiohead. Aujourd’hui encore, on la retrouve dans les festivals, les concerts underground, et jusque sur les podiums.
Bien au-delà de son ancrage dans les cultures musicales, la Dr. Martens est devenue une pièce importante dans l’histoire du prêt-à-porter. Une liste d'acteurs prestigieux, designers, créateurs et autres grandes maisons s’en emparent pour leurs défilés. Parmi celles-ci, on retrouve Yohji Yamamoto, Comme des Garçons, Rick Owens ou Supreme qui ont tous eu un lien avec la marque.
Son esthétique brute, industrielle, avec ses lignes massives, ses œillets métalliques, ses surpiqûres jaunes et sa semelle crantée, a séduit le monde de la mode. Elle permet de jouer sur les contrastes : portée avec une robe fluide, un tailleur ou une doudoune oversized, elle ajoute toujours une touche d’irrévérence.
Parmi les éléments qui font le succès des Docs, on identifie rapidement la technologie de semelle AirWair. Dans les faits, elle est conçue pour amortir les chocs grâce à une structure en PVC injectée, avec des coussins d’air encapsulés pour un confort durable reconnu par ses porteurs.
La puissance de la semelle Doc va au-delà du confort puisqu’elles sont aussi résistantes à l’huile, à l’essence, à l’acide… En bref, elles sont indestructibles.
Cotée en Bourse depuis 2021, Dr. Martens poursuit son développement à l’international, notamment en Asie et aux États-Unis, tout en restant toujours très présente en Europe grâce à son histoire et son ADN.
Aujourd’hui, via ses réseaux sociaux, la marque pilote une communication centrée sur la liberté d’expression, qui séduit les nouvelles générations, dont la Gen Z, qui voit en elle une marque authentique et non conformiste.
Retrouvez la collection Dr. Martens dès maintenant chez Hype Cult.
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Depuis sa naissance dans l'État de New York, Champion s’est imposée comme la référence du sportswear américain. De ses racines dans le sport universitaire à son impact authentique et intemporel aujourd’hui, retour sur l’histoire d’une marque culte.
Née sous le nom de Knickerbocker Knitting Company en 1919 à Rochester, dans l'État de New York, la marque est renommée Champion dans les années 30 lorsqu'elle commence à fournir des tenues à l’équipe de football américain de l’Université du Michigan. Un partenariat qui signera les débuts de l’histoire d’amour de la marque avec le sport universitaire américain.
Initialement, l’entreprise s’est spécialisée dans la fabrication de vêtements de sport robustes. Rapidement elle se forge une solide réputation grâce à la qualité exceptionnelle de ses tissus et de ses coupes, capables de résister à l’usure des entraînements les plus intenses.

Dans les années 30, Champion invente ce qui deviendra l’un des vêtements les plus emblématiques du XXe siècle : le sweat-shirt. Conçu à l’origine pour réchauffer les ouvriers, ce vêtement en molleton épais est adopté par les athlètes, puis par le grand public.
Champion perfectionne également le Reverse Weave, une technologie brevetée en 1952 qui empêche le tissu de rétrécir au lavage. Une innovation qui symbolise la durabilité et le confort de la marque, la propulsant au sommet du sportswear technique.
Des années 70 aux années 90, Champion devient un fournisseur incontournable pour les ligues sportives américaines. On la retrouvera notamment en NBA dans les années 90, habillant des légendes dont Michael Jordan, Shaquille O’Neal ou encore Allen Iverson.
La marque est, durant cette même période, omniprésente dans les sports universitaires.
Au tournant des années 2000, alors que Champion connaît un passage à vide commercial, elle est adoptée de manière organique par la jeunesse. Skateurs, rappeurs et amateurs de vintage redécouvrent la marque pour son authenticité, son esthétique rétro et son côté oversize parfaitement en phase avec les codes du streetwear.
Dans les années 2010, Champion réussit un nouveau comeback grâce à la tendance "normcore" et d’un retour en trombe de la nostalgie pour la culture et du style des années 90
Le logo brodé sur la manche gauche devient un statement que la marque fera rayonner grâce à des collaborations avec WTAPS, Supreme, Vetements, Off-White ou BEAMS.

L’un des plus grands secrets de la longévité de Champion réside dans la qualité de ses pièces. La marque utilise depuis des décennies un grammage élevé, souvent supérieur à 400 g/m² pour ses sweats et hoodies les plus premium. Cela leur confère une épaisseur, une tenue et une durabilité qui surpassent la majorité des concurrents.
Le célèbre Reverse Weave est toujours produit selon un processus horizontal qui minimise le rétrécissement au lavage, tout en garantissant une meilleure stabilité du tissu. Les coutures renforcées, les poignets en bord-côte épais et le molleton gratté à l’intérieur témoignent d’un savoir-faire textile rare dans le monde du prêt-à-porter accessible.
Champion fait partie du club, très fermé, des marques transgénérationnelles restées fidèles à leur ADN et leurs valeurs : ici, l’authenticité, la durabilité et le confort. Elle incarne à la perfection l’équilibre entre patrimoine américain et la démocratisation du vêtement fonctionnel lorsqu’il s’avère confortable et pratique pour le quotidien.
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La collaboration entre Bad Bunny et adidas s’est imposée, très naturellement, comme l’une des collaborations les plus influentes de la culture sneaker. Au-delà de la musique, le créatif artiste portoricain est devenu une icône générationnelle qui transcende les générations avec une audacieuse liberté artistique.
À un tournant important de son histoire, adidas mise alors sur le jeune artiste pour prendre le relais de l’ère YEEZY qui s’achève plutôt douloureusement.
Bad Bunny, ou plutôt Benito Antonio Martínez Ocasio, a émergé comme l’un des visages majeurs de la pop / trap latine dès 2016. Célèbre pour sa musique, il est également reconnu pour ses outfits, sa créativité et ses positions engagées. Bad Bunny incarne une nouvelle masculinité, complètement décomplexée et résolument libre.
Il cumule des milliards de streams, est la tête d'affiche des plus grands festivals et joue même dans le Marvel Univers, Bad Bunny est une superstar planétaire. Dans le monde de la mode, il deviendra le visage d’une nouvelle ère pour la marque aux trois bandes.
À partir de 2023, adidas est dans une période charnière et délicate : la fin de sa collaboration avec Kanye West est douloureuse. Sur la forme, elle se termine mal ; sur le fond, c’est une catastrophe. La ligne YEEZY d’adidas représente alors une part importante des ventes de la marque allemande.
adidas doit rapidement rebondir. L’objectif, trouver une figure de proue, un ambassadeur, capable d’incarner l’ADN de la marque : l’audace, la créativité artistique et culturelle qui la caractérise. C’est là, à ce moment précis, que Bad Bunny devient la figure centrale de la stratégie de la marque allemande.

La collaboration Bad Bunny x adidas n’est pas seulement un coup marketing : c’est un relais de croissance. Chaque sortie est particulièrement attendue, sold out en quelques minutes. Au-delà, chaque sortie a un impact réel sur les paires adidas hors collaboration.
L’impact de Bad Bunny est à l’image de l’artiste portoricain : créatif et libre. Forum Buckle Low, Powerphase, Response CL ou autres SL72, les silhouettes sont revisitées, L’esthétique des modèles est repensée, les codes couleur sont créatifs et audacieux, et les détails sont réfléchis. Les drops Bad Bunny x adidas réunissent aussi bien les fans de l’artiste que les collectionneurs et trendsetters.
En plus de l’impact commercial, la collaboration Bad Bunny a un fort impact culturel pour adidas, permettant à la marque de maintenir un lien fort avec ses communautés. Résultat : une image régénérée, une visibilité internationale et des campagnes qui parlent à Los Angeles, à San Juan ou à Paris.
Découvrez ou redécouvrez toutes les paires lancées par Bad Bunny chez adidas.
● Bad Bunny x adidas Forum Buckle Low : The First Café, Easter Egg, Back to School, Blue Tint, Last Forum…
● Bad Bunny x adidas Powerphase : Catch and Throw
● Bad Bunny x adidas Response CL : Birthday Pack, Paso Fino, Wonder White, Boston Day
● Bad Bunny x adidas Campus Light : Cloud White, Wild Moss, Brown Chalk
● Bad Bunny x adidas Gazelle Indoor : San Juan
● Bad Bunny x adidas Adizero SL72 : 3 coloris
● Bad Bunny x adidas Ballerina : Bold Gold, Off White, Core Black (2025)
Chaque modèle incarne l’univers de Bad Bunny : entre racines caribéennes, audace stylistique et sens du détail. Une collaboration qui n’est pas près de s'arrêter et qui devrait à coup sûr continuer d’explorer les très profondes archives d’adidas.
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Dans l’univers très codifié du workwear, certains classiques sortent du lot. C’est le cas de la Pellet Macho, une derby robuste et racée qui incarne à merveille le savoir-faire français dans le domaine.
Fondée en 1860 à Vienne, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, Christian Pellet fait partie de ces maisons profondément ancrées dans l’artisanat français. À ses débuts, la marque fournissait des chaussures aux travailleurs et aux soldats, avant d’évoluer vers des silhouettes plus lifestyle, sans jamais renier ses origines.
Aujourd’hui, Pellet prolonge cet héritage en alliant rigueur artisanale et esthétique contemporaine. La Macho en est la preuve vivante.

La Pellet Macho prend la forme d’une derby, avec un laçage ouvert et une shape légèrement arrondie. Côté matière, sa tige est conçue en cuir pleine fleur de grande qualité, souvent en grainé ou lisse, sélectionné pour sa durée de vie, qui se patine dans le temps et l’usage.
Pour la conception, la Macho propose un montage cousu Blake, souple et solide. La semelle gomme crantée propose une expérience confortable et une adhérence tout-terrain, même sur les pavés des villes. Enfin, la Macho profite d’une fabrication 100% française dans les ateliers Pellet, garante d’une qualité irréprochable.

La Pellet Macho entre naturellement en compétition avec des silhouettes emblématiques comme la Paraboot Michael ou la Kleman Padror.
Là où Paraboot mise sur un montage norvégien et une shape plus imposante, la Macho joue une carte légèrement plus épurée, tout en restant très workwear. Comparée à la Kleman Padror, elle se distingue par une finition plus fine et un cuir souvent plus noble. La Macho se positionne entre le workwear traditionnel et le vestiaire casual-chic. Une proposition agile extrêmement contemporaine.

La Macho s’intègre parfaitement dans un ensemble workwear moderne. On la marie facilement avec une veste Eisenhower de Dickies, un pantalon 247, un tee-shirt blanc lourd. Elle est également capable de sortir de ses standards pour achever une tenue plus urbaine avec un short loose en jean et un hoodie / crewneck.
Pour les amateurs de layering, une surchemise en flanelle ou une veste en canvas complètera parfaitement l’ensemble.
Aux pieds, la Macho prend tout son sens : elle structure la silhouette, apporte une touche sophistiquée, sans jamais renier son âme de chaussure de travail. La Pellet Macho est disponible dès maintenant chez Hype Cult.
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C’est l’histoire d’une silhouette fidèle à elle-même depuis plus de 50 ans. Discrète, inchangée, la Clarks Wallabee est une anomalie dans le paysage footwear. À l’heure où les silhouettes ne cessent de se réinventer, ce mocassin britannique continue de s’imposer sans faire de bruit. Portée partout dans le monde, elle est devenue une pièce fondamentale d’un vestiaire qui va au-delà des genres, des styles et des générations.
Créée en 1967 par Clarks Originals, la Wallabee s’inspire d’un mocassin allemand, le “Grashopper”. Très rapidement, son design angulaire et minimaliste, sa semelle en crêpe lui confèrent une véritable identité, reconnaissable entre mille.
Pensée pour le quotidien, sa construction simple et robuste séduit autant pour son confort et sa durabilité. Ici on parle d’une pièce essentielle dans un vestiaire.

La Wallabee poursuit une histoire unique. D’abord populaire au Royaume-Uni, elle est adoptée dans les années 70 par la jeunesse jamaïcaine, notamment dans les cercles “rude boys”.
Elle devient rapidement un symbole de respectabilité, avant d’atterrir aux pieds du Wu-Tang Clan dans les années 90. Ghostface Killah la cite régulièrement, la porte, et l’impose dans la culture urbaine.
Dès lors, la Wallabee s’installe dans l’histoire du hip-hop comme un objet important, à contre-courant des tendances de l’époque.

La force de la Wallabee tient dans son équilibre. Ni trop habillée, ni trop décontractée, elle est l’une des silhouettes les plus agiles du monde du footwear.
Pantalon droit, jean loose, cargo, short : elle fonctionne avec tout. Son design n’a quasiment pas changé depuis sa création, preuve que l’on parle d’un pilier.
Tout y est : une tige premium (peu importe la variation), des coutures cousues main, une légendaire semelle gomme… la Wallabee est pensée pour durer.

Bonne nouvelle, que ce soit dans sa version basse ou haute (Boots), l’iconique Clarks Wallabee est dès maintenant disponible chez Hype Cult dans une large sélection de coloris, pour hommes et pour femmes.
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Né sous la pluie parisienne en 1965, K-Way est un morceau d’histoire française devenu un objet culte à l'international. Pratique, léger, coloré, il a traversé les générations, disparu un temps avant de renaître en véritable icône.
Une idée simple née au Café de la Paix à Paris
Léon-Claude Duhamel, fils d’un industriel du textile, a l'idée du K-Way en observant une famille habillée de nylon rouge, bien à l’abri de la pluie, alors que tout Paris défile l’imperméable gris. Il imagine un vêtement de pluie léger, compact, pliable et coloré : le premier K-Way voit le jour. La révolution est en marche. Dès 1966, la marque prend un virage marketing malin en adoptant un nom à consonance américaine. Succès immédiat : 250 000 exemplaires vendus dès la première année.

Légendaire dans les années 80... avant de disparaître
Dans les années 1980, K-Way est partout : à l’école portée par les enfants, au collège par les ados. Sophie Marceau le porte dans La Boum, et “le Claude” devient culte. Fermeture tricolore, matière légère, design coloré, il incarne la liberté des années 60 et le style fonctionnel des années 80.
Mais les années 1990 marquent le début du déclin. Malgré une présence aux JO d’Albertville en 1992, l’incendie de l’usine est un coup dur. Le K-Way disparaît doucement des radars… jusqu’à son rachat en 2004 par BasicNet, groupe italien derrière Kappa et Superga.

Une renaissance entre luxe, design et streetwear
Le revival K-Way se joue sur deux tableaux : la fidélité à l’héritage fonctionnel et la montée en gamme stylistique. Le modèle Claude est réinterprété en version premium, imperméabilisé, revisité par Marc Jacobs dès 2011. Puis suivent des collaborations avec Maje, Petit Bateau, Colette, L’Éclaireur... Des collections capsules qui parlent autant aux nostalgiques qu’aux nouvelles générations.
La marque investit dans des boutiques physiques dès 2013 à Paris, Lille, puis son flagship de la rue du Temple en 2017. Elle se positionne comme une marque urbaine haut de gamme, sans renier ses origines.
K-Way multiplie les projets collaboratifs avec des marques de renom. Soeur, Diemme, Comme des Garçons, Ami Paris ou encore Palace ont pu revisiter les pièces de la marque pour s’ancrer encore plus dans leur époque.

Pourquoi K-Way est toujours aussi cool en 2025 ?
1. C’est pratique. Pliable dans une poche-banane intégrée, ultra léger (300 grammes), facile à glisser dans un sac ou sous une veste, le K-Way est imbattable de praticité au quotidien.
2. C’est intemporel. Son design minimal, son côté rétro et son identité pop lui offrent une place de choix dans tous les dressings.
3. C’est à la mode. K-Way a su intégrer les codes du luxe et du streetwear : silhouettes oversize ou ajustées, coupes techniques, matériaux premium… Il est utile et désirable.
4. C’est français. Derrière ce nom à consonance anglo-saxonne, il y a une invention nordiste, qui a su rayonner dans le monde entier. Porter un K-Way, c’est aussi célébrer une part du patrimoine textile français.
K-Way est bien disponible chez Hype Cult
Bonne nouvelle pour les amateurs de la marque et ceux qui le seront après avoir lu cet article : les pièces K-Way sont disponibles chez Hype Cult.
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Mizuno s'est attaché, depuis ses débuts, à être synonyme d'excellence technique. Une volonté profondément ancrée dans ses racines japonaises.
Avec la MXR Sport, Mizuno dévoile une silhouette moderne et fonctionnelle, conçue pour parler aux amateurs de sneakers comme aux néophytes. La Mizuno MXR Sport mêle performance, design et confort dans un équilibre parfaitement maîtrisé, une notion centrale dans la culture japonaise.

La MRX Sport met en lumière les archives Mizuno en repensant les silhouettes des années 1990/00 de la marque.
Côté semelle, la MRX Sport intègre des technologies récentes dont la midsole “Wave”, signature de la marque, qui offre une belle absorption des chocs et un maintien de premier rang.
Pour l’upper, la tige mêle mesh respirant, fidèle à son héritage de running et des renforts en cuir. Tous les détails, du logo brodé aux empiècements, respirent la qualité et l’authenticité. La MRX Sport rappelle l'âge d'or du running dans un style contemporain.

La paire de Mizuno incarne tout ce qu’on peut rechercher dans une running rétro à la sauce 2025 : le mix parfait entre vintage et innovations fonctionnelles.
Vous êtes audacieux, créatifs ou amoureux de silhouettes à l’ADN affirmé, cette silhouette devrait vous parler. Elle répondra, sans l’ombre d’un doute, à vos besoins quotidiens.
Très bonne nouvelle, la Mizuno MRX Sport est maintenant disponible sur Hype Cult.

Pour aller plus loin, découvrez l’histoire de la marque K-Way.
Créée en 2012 à Amsterdam, Daily Paper est très rapidement devenue une figure importante du streetwear européen. La recette Daily Paper est désormais bien connue : la marque propose des coupes modernes, des designs minimalistes, une qualité évidente et un héritage véritable venu d’Afrique.
Touchant un large public, Daily Paper confirme son statut d'incontournable dans l'univers du streetwear.

C’est en 2008 que Hussein Suleiman, Abderrahmane Trabsini et Jefferson Osei, trois amis résidant d’Amsterdam, lancent un blog pour partager deux passions : la mode et la culture africaine. Un projet amateur qui deviendra rapidement une solide communauté jeune et créative.
Face à l'engouement, ils décident en 2012 de transformer cette énergie en une véritable marque de vêtements : Daily Paper voit le jour. L’ambition de la marque est simple : célébrer leurs racines africaines tout en proposant des designs contemporains.
Côté identité de marque, Hussein, Abderrahmane, Jefferson choisissent “Daily Paper”, pour leur passion pour la presse, la culture et leur envie d’écrire chaque jour un nouveau chapitre de leur propre histoire.

L’ADN Daily Paper, depuis sa genèse, repose sur un juste équilibre entre coupes contemporaines et une belle identité autour des traditions africaines. Les collections de la marque revisitent parfois des imprimés issus de la culture panafricaine sur des silhouettes agiles, entre le streetwear et le sportswear. On retrouve également des pièces plus classiques, qui apportent une belle largeur à une marque extrêmement polyvalente.
En effet, quand la marque célèbre ses origines, elle le fait avec la manière car c’est ici que réside la richesse des collections. Les pièces Daily Paper peuvent parfois raconter une belle histoire mais aussi offrir une véritable fonctionnalité. A l’image d’un autre label hollandais, PATTA, Daily Paper met en lumière la culture et l’unité panafricaine de manière créative, équilibrée et subtile, la rendant accessible au plus grand nombre. Car oui, Daily Paper s’attache à proposer des pièces du quotidien sur un vestiaire riche et varié.
Ici, l'héritage culturel devient accessible et inclusif. C’est dans cette authenticité que réside la grande force de la marque hollandaise.

Récemment, Daily Paper a présenté plusieurs collaborations avec Converse pour renforcer son statut de label majeur. Mais la marque ne souhaite pas s'arrêter là. Daily Paper s’engage dans une démarche plus écologique, en augmentant l’usage de matières durables, avec des collections éco-conçues intégrant du coton biologique, du polyester recyclé et des teintures naturelles.
Un projet parmi tant d'autres, car à chaque saison, la marque dévoile de nouvelles pièces, tout en travaillant ses classiques. Des collections toujours plus variées qui plaisent à une communauté de plus en plus engagée autour de la marque.
Retrouvez les pièces de la collection Automne 2025 Daily Paper, dès maintenant, sur la boutique Hype Cult.
Des parois rocheuses californiennes aux rues de Shibuya, Gramicci est la fusion idéale entre la technicité de l’outdoor et l'esthétique contemporaine.
Créée dans les années 80 par un grimpeur passionné, la marque a traversé les décennies pour devenir aujourd’hui un pilier de la tendance gorpcore. Retour sur l’histoire unique d’une marque qui n’a jamais trahi son ADN.

Gramicci voit le jour en 1982 sous l’impulsion de Mike Graham, un grimpeur californien membre de la légendaire équipe de Yosemite, les "Stonemasters".
Frustré de ne pas trouver de vêtements adaptés à sa pratique, Graham imagine un short pensé pour l’escalade : une coupe ample, une liberté de mouvement maximale, une ceinture intégrée réglable à une main (une innovation inédite à l’époque). Le "G-Short" est né, et avec lui, une marque.
Du côté du branding, Gramicci, c’est le surnom italien que Mike Graham s’était inventé pour rire lors d’une ascension à Yosemite avec les Stonemasters. Aucun d’eux n’était italien, mais tous s’étaient attribué des noms à consonance transalpine. Graham est ainsi devenu Gramicci, et le nom est resté.
En 1988, Gramicci lance le G-Pant, vite devenu une référence chez les grimpeurs. Avec son entrejambe à soufflet, sa ceinture intégrée et ses poches profondes, il allie liberté de mouvement, praticité et robustesse grâce à son coton sergé bio. Un essentiel pensé pour l’escalade et même adoptée bien au-delà.

Alors que Gramicci continue son chemin aux États-Unis dans les années 90, c’est au Japon que la marque connaît une véritable renaissance. Dans un pays qui chérit la technicité, la coupe parfaite et le souci du détail, Gramicci rencontre son public de cœur.
Dès le début des années 2000, des boutiques spécialisées commencent à importer la marque et à la styliser différemment : les pièces sont portées avec des chemises larges, des sneakers qui ne verront jamais un seul mur d’escalade, et adoptées autant par les amateurs d’extérieur que par les jeunes citadins.
Le Japon tombe amoureux de la marque pour plusieurs raisons. D’abord, pour sa légitimité et son héritage authentique forgée sur les parois de Yosemite. Ensuite, pour ses pièces fonctionnelles, techniques et sobres, parfaitement adaptées à la vie urbaine. Enfin, parce que Gramicci incarne une vision du vêtement utilitaire qui résonne profondément avec la culture japonaise, où l’équilibre est une valeur clé.
Aujourd’hui, la direction artistique de Gramicci est gérée depuis le Japon. Des collaborations avec F/CE, And Wander ou encore Nonnative ont permis d’enraciner la marque dans la culture streetwear locale et mondiale.

Depuis quelques années, un mot circule sur toutes les lèvres : gorpcore. Le terme désigne un style vestimentaire inspiré de l’univers outdoor : vestes coupe-vent, pantalons techniques, doudounes, chaussures de trail…
Ce qui était autrefois réservé aux randonneurs et alpinistes s’invite désormais en pleine ville. La raison ? Une envie de confort, car une fois qu’on y goûte, on ne revient pas en arrière. Gramicci s’impose comme un acteur naturel de cette tendance grâce à ses pantalons qui allient confort, style et technicité.
Qu’il s’agisse de vos premières pièces ou de compléter votre vestiaire, la nouvelle collection Gramicci est maintenant disponible chez Hype Cult.
Toujours sur Hype Cult, découvrez l’histoire de la Puma Speedcat.
Service Works est un jeune label londonien issu de l’univers de la restauration, qui mélange héritage professionnel et esthétique streetwear. Connu pour ses pantalons de chef, le label s’est imposé bien au-delà des cuisines grâce à son ADN utilitaire et son confort.

Service Works voit le jour à Londres. Son fondateur a grandi dans une famille ancrée dans l’hôtellerie-restauration, et ses premiers jobs se sont naturellement passés en cuisine. À l’époque, il portait ses pantalons de chef même en dehors du travail notamment pour sortir. Service Works est né en hommage à ce mélange spontané entre fonctionnalité pro et style perso. L’objectif de la marque : répondre aux besoins des cuisines en offrant des vêtements fonctionnels, résistants et confortables.
Utilité, durabilité et confort, ce sont les trois piliers qui portent la marque britannique. En adaptant des vêtements techniques à l’usage quotidien, la marque réduit encore les frontières entre le workwear et le streetwear. Dans le vestiaire Service Works, chaque pièce est conçue pour encaisser un service en restant confortable avec une belle coupe.
Le Chef Pant est le symbole de la marque et incarne parfaitement son esprit. Coupe droite, tissu résistant, poches pratiques… On comprend vite son usage premier prouvant sa polyvalence pour le quotidien.
Au-delà du cookwear, un label workwear contemporain
Aujourd’hui la marque s’est imposée au-delà de son public premier. Cuisiniers, skateurs, artistes, créatifs… tous s’approprient les pièces de la marque pour leur coupe et leur confort. Le vêtement fonctionnel est bien devenu une pièce de mode à part entière, entre héritage professionnel et esthétique contemporaine.
Contemporain oui, car Service Works produit en petites quantités, avec un soin particulier porté aux matières durables et à l’éthique de fabrication, en prônant une mode consciente.

Les pièces Service Works sont maintenant disponibles chez Hype Cult. L’occasion idéale d’ajouter une touche fonctionnelle à votre vestiaire. Et vous verrez, l’essayer, c’est l’adopter.
Issue des archives de la marque, la New Balance 1906R est de retour avec toutes ses qualités : performance, héritage et shape à couper au couteau.
Ce retour en force s’inscrit dans la stratégie de New Balance de rééditer ses modèles emblématiques, dans un premier temps avec la 2002R, qui a véritablement ouvert la voie à sa petite sœur.
Sortie en 2009, la New Balance 1906 est initialement pensée pour le running. Avec son design avant-gardiste et ses technologies, elle était dédiée aux coureurs à la recherche d’un produit particulièrement performant. En 2022, New Balance redonne vie à sa silhouette puis la réintègre à son roster pour le “lifestyle”, dans une version repensée nommée New Balance 1906R (“R” pour “Reconstructed”).

La 1906R conserve son upper technique typique de l’époque Y2K, un mélange de mesh et cuir synthétique, des lignes dynamiques et arbore une nouvelle semelle. Dans sa quête d’innovation, la silhouette intègre des technologies plus récentes comme le système de stabilité N-ergy.
Sa construction aérée, ses détails et son ADN running en font une pièce à la fois fonctionnelle, intemporelle et stylée, parfaite pour tous types de tenues : elle séduit le plus grand nombre et on le constate tant sur Instagram que sur les podiums.
La 1906R symbolise ce que New Balance sait faire de mieux : mélanger performance, héritage et lifestyle. La New Balance 1906R est disponible dès à présent chez Hypecult, pour hommes et pour femmes, dans un large éventail de coloris.

La New Balance 740 est de retour, toujours fidèle à l’esprit des années 2000. Cette silhouette running vintage, rééditée avec beaucoup de soin, mêle design rétro et technologies contemporaines. Un comeback puissant, taillé pour être sans l’ombre d’un doute l’une des sneakers les plus populaires de l’année.

Initialement conçue pour les runners, la New Balance 740 incarne parfaitement l’approche technique du running de l’époque Y2K. Son design et sa conception sont pensés pour offrir une expérience optimale, s'appuyant sur des matériaux de qualité et une construction orientée vers la performance.
Vous connaissez l’histoire, c’était déjà le cas avec beaucoup de silhouettes New Balance, la paire est sortie de son usage premier. Elle a trouvé une place confortable en 2025 dans la rue et s’impose petit à petit comme l’une des silhouettes les plus populaires de l'année grâce à son design et son confort.

New Balance remet aujourd’hui ce modèle au goût du jour avec une réédition respectueuse du design d’origine. L’empeigne en mesh respirant, combinée à des renforts en cuir synthétique, assure légèreté, respirabilité et maintien.
C’est du côté de la semelle qu’on constate une évolution. Cette New Balance 740 version 2025 troque sa semelle d’origine pour intégrer celle de la New Balance 530 qui a fait ses preuves. Cette néo-semelle garantit un amorti efficace, énergique et confortable, parfait pour le quotidien.

Avec la 740, New Balance poursuit son travail de valorisation de ses archives. La silhouette s’adresse tant à sa communauté “core” qu’à une cible large, en recherche d’une paire fonctionnelle pour l’usage quotidien ou tout simplement tendance pour finir un outfit,
Le retour d’une silhouette rétro impose le retour des coloris originaux. La 740 est donc réapparue dans sa version OG Blue Agate. Mais New Balance ne s'arrête pas là puisque la 740 est disponible dans une pléthore de coloris, du plus “Running Y2K” au plus élaboré, il y en a pour tous les goût
La Puma Speedcat OG, icône du style motorsport, fait son grand retour en fin d’année 2024 pour les 25 ans de la silhouette. Dans ses coloris emblématiques et originaux "All Time Red" et "Black", la silhouette légendaire de la marque au félin arrive chez Hypercult.
Initialement conçue pour les pilotes de Formule 1, la Speedcat est l’un des fers de lance des sneakers dites “slim”, particulièrement tendance cette année.

Lancée en 1999, la Speedcat s'inspire des chaussures de course portées par les pilotes. Elle dispose d’ailleurs d’une histoire étroitement liée au monde de la Formule 1.
Pour lier la parole aux actes, la Speedcat propose une silhouette racée, des finitions premium, des coloris efficaces ainsi qu’une semelle fine. Son design évoque, bien sûr, celui d’une voiture de sport.

La Speedcat OG, par son retour, transcende les tendances et s'impose finalement comme une véritable icône des cultures urbaines. Son design épuré et ses matériaux premium en font une sneaker polyvalente, agile, qui s’intègre dans de nombreux outfits.
La silhouette propose une tige en cuir suédé de premier choix, frappée du Formstrip Puma en suède et du logo Puma Cat brodé sur l'avant du pied, tous deux blancs. Les détails dorés sur la languette et les panneaux latéraux achèvent un design minimaliste et précis.

Plus de 20 ans plus tard, la Speedcat OG a opéré un retour en force, notamment aperçue aux pieds de Dua Lipa, égérie Puma, et Emily Ratajkowski. Un comeback validé en 2024, poursuivi en 2025 avec une arrivée massive dans la rue.
La Puma Speedcat est maintenant disponible chez Hypecult dans ses deux coloris OG et dans plusieurs autres dont un Marron intemporel ou un rose très énergique.
Designée par un Français dans les années 80, la Forum est une silhouette initialement pensée pour le basketball, qui devenue une référence phare d’adidas Originals.

Sortie en 1984, la adidas Forum est une création de Jacques Chassaing, également connu pour avoir imaginé la ligne adidas ZX. Pensée pour le basketball, la Forum se distingue immédiatement par sa technicité et son approche innovante.
À l’époque, elle était l'une des baskets les plus chères du marché (100 dollars), une somme justifiée par ses innovations : semelle plus stable, tige renforcée et surtout sa sangle à la cheville.
La adidas Originals Forum propose une combinaison de cuir premium, d’empiècements perforés pour la respirabilité et des lignes angulaires. Sa sangle au niveau de la cheville n’est pas seulement esthétique : elle marque une rupture à l’époque en termes de maintien et devient rapidement sa signature.
Disponible en versions haute (Hi), moyenne (Mid) et basse (Low), la Forum a su s’adapter à chaque besoin, chaque envie. Que ce soit pour le basket à l’époque ou en ville aujourd’hui, son ADN culturel et sportif s’intègre parfaitement à notre époque.

Côté basketball, on retrouve la Forum aux pieds d’un certain Michael Jordan, avant qu’il ne rejoigne la NBA, avant son histoire avec Nike.
Rapidement, la Forum s'échappe des gymnases pour apparaître dans la culture hip-hop des années 2000. En effet, on la retrouve dans plusieurs clips de 50 Cent et Kanye West qui finissent de la propulser dans la culture urbaine. De bien belles références.
Aujourd’hui, la Forum est toujours présente et reste un terrain de jeu pour de nombreux artistes qui l’ont revisitée.

Côté coloris, il est impossible de ne pas évoquer de son coloris OG qui oscile entre le blanc et le bleu royal. Mais au-delà de ce pilier de la culture sneaker, la Forum s’est illustrée à travers des collaborations fortes.
La collaboration la plus marquante (et la plus récente) est sans doute la revisite de Bad Bunny. Nommée "Forum Buckle Low", la Forum arbore un design plus musclé digne des skate shoes des années 2000. On retient également la revisite de Jeremy Scott avec ses ailes et autres designs exubérants qui ont marqué les années 2010.
Chaque collaboration réinterprète l’esprit de la Forum tout en gardant intacte son parti pris, son ADN, sa silhouette unique.

Plus de 40 ans après sa toute première sortie, la Forum est toujours bien présente. Son design iconique a su traverser les époques sans perdre son identité et son esthétique sportive plus culturelle que jamais.
La Forum est indémodable, comme beaucoup de silhouettes adidas Originals. Retrouvez cette icône dans plusieurs coloris dès maintenant chez Hype Cult.

Crédits photos : Tyler Mansour, Wave.fr, axeldoye
1er septembre, c’est la fin des vacances. Qu’il s’agisse de la reprise des cours, du retour au travail ou simplement de reprendre un rythme quotidien structuré, septembre marque un moment important de l’année. C’est l’occasion de repenser ses habitudes, son organisation… mais aussi de soigner son retour.
Dans cette dynamique, la paire de sneakers joue un rôle prédominant : elle est à la fois fonctionnelle et expressive, entre confort et style. Voici une sélection de cinq silhouettes pour ne surtout pas rater ce moment.

Avec son design, son mix matière qualitatif, son coloris monobloc et sa semelle crêpe, la Clarks Wallabees traverse l’histoire sans jamais prendre une ride. Plus proche du mocassin que de la sneaker, cette paire aussi élégante que décontractée est particulièrement confortable.
Autant avec un cargo, un jean brut ou un pantalon droit workwear, sa force principale est de fonctionner avec toute votre garde-robe. Ses influences britanniques et son impact dans la culture urbaine en font un must-have pour ceux qui veulent une silhouette forte avec un design sobre.

La Saucony Progrid Omni 9 est une silhouette issue des archives de la marque. Celle-ci propose un design running Y2K assumé, très tendance depuis quelques mois pour son confort et sa fonctionnalité au quotidien. La Progrid Omni 9 propose un design technique, un amorti généreux et des matériaux respirants qui la rendent particulièrement confortable.
Ici on parle d’une paire pensée pour vous accompagner dans vos journées. Confortable et stylée, vous n’aurez plus jamais besoin de faire un seul compromis.

La GEL-1130 symbolise parfaitement tout ce qu’est ASICS : une expérience extrêmement confortable avec un design discret et minimaliste. Elle est efficace, sans aucune fioriture et c’est sans doute pour ça qu’elle plaît tant aujourd’hui.
On le sait bien, une paire idéale pour la course à pied est une paire idéale pour le quotidien. Côté détails, la silhouette arbore un mesh piqué respirant, des éléments réfléchissants pour l’ADN technique, et un insert GEL dans sa midsole, légendaire technologie de la marque japonaise, pour assurer confort et dynamisme à chaque pas. Vous l’avez compris, la recette ASICS est parfaite pour réussir sa rentrée avec style.

On aurait pu reprendre pas mal d'éléments du texte précédent tant on parle ici aussi d’une nouvelle valeur sûre. Rééditée avec précision, la New Balance 740 s’impose comme l’une des sneakers les plus populaires de 2025. Parfait équilibre entre vintage et performance, la 740 est respectueuse de son ADN Y2K.
Avec cette nouvelle version, New Balance reste fidèle à l’esprit original de la silhouette. On retrouve une empeigne en mesh et des renforts en cuir synthétique. Côté nouveauté, la 740 adopte la semelle de la 530, éprouvée pour son amorti et son confort : la technologie Abzorb dans toute sa grandeur.

On termine cette sélection avec une marque moins connue mais tout aussi intéressante que les précédentes. Moderne, durable, avec une esthétique léchée et des finitions premium, voici les grandes qualités de la The Re-Run.
Conçue à partir de matériaux recyclés ou vegan, The Re-Run livre une expérience éthique et sophistiquée. Son design propose des lignes modernes et des influences sportives dans une démarche authentique et éco-responsable. Polyvalente, extrêmement premium dans sa réalisation comme dans ses finitions, The Re-Run fonctionne avec un très grand nombre d'outfits.
Ces 5 silhouettes, et bien plus encore sont maintenant disponibles chez Hype Cult dans une large sélection de coloris.
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